Gbacca est né près de Thrace par un soir de juin. Ses parents, éleveurs de bétails était très pauvre, et avait déjà eu trois enfants, trois filles, dont deux qui avait péri au cours de leur première année de vie à cause de maladies. Aussi, c'est avec joie que les parents de Gbacca accueillirent l'enfant au sein de leur foyer espérant que ses bras leurs seraient utiles lorsqu'il serait plus agé si il vivait suffisement longtemps pour atteindre cet âge.
Trois ans passèrent, lorsque Gbacca perdit sa mère. Elle décéda des suites d'un cinquième accouchement en même temps que l'enfnat, laissant Gbacca, son père et sa soeur seuls. Rapidement néanmoins, le père de Gbacca se remaria. Gbacca grandit ainsi dans un foyer rempli de l'amour de sa belle-mère et de son père. Dès ces huit ans il travailla aux champs ce qui luiu donnant une force relativement élevée pour son âge.
Le jour de son 15ème anniversaire, Gbacca lorsqu'il rentra de sa journée de travail dans les champs à quelques lieux de sa demeure, il aperçu de loin un long manteau de fumée noirâtre s'élevant de le ciel. Le jeune homme courut à en perdre haleine, c'est épuisé qu'il découvrit que la grange et la maison brûlaient. Sans se poser de question, il entra dans la maison en flamme. Il découvrit sur la table les corps de sa soeur et de sa mère. Leurs deux corps étaient couvert de bleus, elle avaient sans nul doute essayer d'échapper aux envies des pillards mais visiblement n'avaient pas réussi. Gbacca transporta les corps meurtris des deux femmes dans la cour afin de les enterrer dès qu'il le pourrait. C'est là qu'il aperçut le corps de son père mutilé, ce dernier avait dû comprendre que des pillards taient entré dans la maison et s'en prenant aux femmes, il avait essayé de les sauver mais avait échoué, après tout, il n'était qu'un paysan. Gbacca pleura toutes les larmes de son corps en enterrant sa famille, et il jura sur leur tombe qu'il se vengerait, s'entaillant légèrement la main afin de sceller son serment dans le sang.
Trois années passèrent. Trois années durant lesquels Gbacca connut l'amour, la tristesse, la joie, et les nombreux travaux d'un jour dans la grande Thrace. Il s'entraînait régulièrement avec d'autres jeunes hommes errant comme lui dans la cité. Il avait sa vengeance en tpête, son seul indice étant un morceau de tissu noir sur lequel était dessiné une galère que sa mère avait arraché d'un de ses agresseurs et qu'elle avait serré dans ses poings jusque dans la mort. C'est ainsi, qu'un jour en se promenant dans les docks, il aperçut quatre hommes portant une veste noire avec comme symbole une galère. Il décida de les suivre, il partait visiblement pour une expédition sur une petite île aux alentours afin de la piller.
Gbacca s'engagea sur ce bateau, dans l'espoir d'assouvir sur sa vengeance. Ces quatre hommes devaient mourir. Après une heure de traversée, Gbacca arrêta de ramer. Il serra fort la rame dans ses mains et fracassa la tête du pillard qui pagayait à ses côtés. Il fit tombé par dessus bord un deuxième pillard mais fut lui même passé par dessus bord par un violent coup du troisième larrond qui manqua de peu de lui fracasser la tête. Gbacca tomba à la mer sentant sa force le quitter tandis qu'il sombrait.
Lorsqu'il se réveilla, Gbacca ne savait pas combien de temps il avait passé dans le coma, il était sur une petite île, à côté de lui, une sirène, vêtue d'une armure d'écaille comme tout servant de poséidon. Elle regardait le jeune homme.
Bonjour jeune homme, Gbacca je crois, j'ai quelque chose à te proposer, depuis quelques années seule la vengeance donne un sens à ton existence. Je te propose de donner un vrai sens à ta vie. L'empereur des mers poséidons t'a choisi pour être un de ses marinas, c'est pourquoi lorsque je t'ai senti sombrer dans les profondeurs, je suis venue te sauver. En servant sa majasté, tu combatteras pour un idéal plus grand, pour que cette terre redevienne pure, lavée de tout ces hommes comme ceux dont tu voulait te venger qui ne sont animés que par des sentiments impurs, en te joignant à poséidon, tu peux oeuvrer pour un monde meilleur, une telle proposition, cela ne se refuse pas!
Gbacca n'en revenait pas, lui, un marinas.... après pourquoi pas pensa-t-il, oeuvrer pour un monde meilleur, laver ce monde de ses impuretés, oui, c'était une bonne idée, et puis si un dieu l'avait choisi, il ne pouvait qu'embrasser sa destiné. Il deviendrait quelqu'un de bien, un marina de poséïdon. Gbacca fit un signe de tête à la sirène qui l'emportant dans les profondeurs du temple de poséidon afin qu'il aprenne les bases qui feraient de lui un marina....
Après s'être entraîné pendant une année, Gbacca reçut une armure de cuir et fut autorisé à combattre en tant que marina de poséïdon, il avait achevé sa formation, c'est ainsi qu'il s'élança au cap sounion, près à en découdre avec ceux qui s'oppasaient à la volonté de sa majesté le seigneur des mers, poséïdon....
